Raid Gaulois samedi 14 et dimanche 15 mai. Revivez en images, le choc entre Philippe Leroy (zébré) et Martin Guéry, en orange. Rassurez-vous, les deux pilotes sont toujours vivants ! (photos facebook)
G.D.S
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14 commentaires:
Aurons-nous droit à un debriefing de cet épisode heureusement sans conséquence?
La photo 2 évoque un problème de jauge, ou pour le moins une explication: comment peut-on en effet garder son char au fesses en ayant les 4 fers en l'air?
houlala mais c'est sexe le buggy
encore du pentrez !!!!!!!
alors facile de parler deriere un nom anonyme je n'etais pas présente mais on ma raconté, je signale que celui qui ne sais pas regardé il faut changer de lunette pour la photo 2 il le touche plus du tout le fond de la selette et c'est la vitesse et l'inersie qui fait qu'il est encore derriere lui(son char)mais il n'est plus du tout dans son char, pour la breve histoire c'est une sortie de boué le zebre arrivait vite a la sortie de la boué et martin etais ralentie, donc le zebre est monté sur l'essieu et du coup ca a fait tremplim.
En lisant ton commentaire j'ai l'impression que c'est normal ce qui c'est passé ! Limite c'est la faute de Martin qui n'allait pas assez vite ^^
En classe 8, il ne faut jamais compter sur la règle rattrappant-rattrappé pour assurer sa sécurité, car c'est plutôt la règle "ôte-toi de là que je m'y mette" qui prévaut...
non je ne dis pas normale, loin de la car il y aurait pu avoir plus de dégas, mais il faut savoir que les deux etait dans le meme tour et que l'un comme l'autre jouaient depuis de nombreux tours a se doubler et a se géné, donc arriva se qui l'arriva, martin a pris plus cour pour passer devant mais il est sorti a bien moins de vitesse et philippe avec la vitesse qu'il avait n'a pas pu changer de trajectoire et si tu regarde bien les ligne martin les a tres basse donc philippe ne peut rien faire, car je ne sais pas si tu connais cette dicipline mais si a pleine vitesse tu leves ta voile au zénite tu fais comme le bouchon de champagne et la c'est 10fois pire car le char continu d'avancer avec sa vitesse et le pilote peu monté trés haut et la déscente je ne te fais pas de déssin.
C'est bizare je trouve cette classe de char où on peux pas évité un pilote qu'on ratrape!!!
ba si t'as un jour tu viens regarder une ligue ou un gp tu veras que c'est une classe très particuliere
En quoi est-elle si particulière, Stéphanie, à part le fait que les chars font (en gros...) 25 mètres de longueur et de largeur, que les voiles sont volantes, et que l'on ne peut pas vraiment les border ou les choquer instantanément? ;)
sbouju
En lisant ce que vous venez d'écrire et le rirc, il y a quand même un problème
"Le système de frein sur un char à Cerf volant doit être un frein utilisant le vent par le biais du cerf volant."
COMMENT ON FREINE ! Il n'y a pas même pas un système de largage des voiles... Lors du retournement le pilote n'est pas toujours éjecté et se retrouve sous le char (sans arceau). Les fédérastes reprochaient au mini 4 que l'on puisse poser les pieds par terre, mais pas en classe 8.
Enfin c'est juste pour dire que la sécurité des pilotes en classe 8 semble négligée.
Il existe un systeme de frein qui s appel un largueur(sois sous charge,sois manuel car les poulie sont differente) et qui est verifier au championnat europe ou monde mais peux sur les gp. Je rigole quand a la difference de categorie de char qu il existe mais j ai fais quelque annee de char a voile avant de faire du classe8 et je constate que les accidents il y en a dans toute les categories et je dirais meme des spectaculaires et je ne pense que le pilote n est eu le tps de tirer sur le freins avant de rentree en colision. Je pense que toute personne faisaient du char(tt categorie confondu) ces tres bien que se n est pas un sport sans risque je crois dire sans me tromper qu il n y a pas une annee sans accident. Le char a cerf volant est comme il l indique est muni d un cerf volant il est donc parfois impossible de savoir se qu il peut se passer lors d un roulage,le char a voile a juste a relacher le boute et il peut ralentir.
Le largueur, sous charge ou pas sous charge, il faut oublier (comme élément de sécurité, en tout cas, puisqu'il est de toute façon un élément parfois obligatoire)... Lorsqu'on en a vraiment besoin, et tous ceux à qui c'est vraiment arrivé le confirmeront certainement, cela va tellement vite et fort qu'on n'a pas le temps de l'actionner au moment exact où cela serait encore utile. Et un peu plus tard, si tu l'actionnes quand ça ne sert plus à rien, cela va juste t'obliger à aller récupérer ta voile une centaine de mètres plus loin sous le vent, (dans le meilleur des cas), ou bien te faire faire un saut plus ou moins mortel si tu es déjà trop haut dans les airs, alors que là, il faudrait au contraire rester bien accroché à sa voile et rassembler ses quelques éventuelles connaissances de parapente pour tenter un attero le moins dur possible avec son aide.
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